
Pour la petite histoire : j’avais peint cette toile (plutôt repeint en vitesse sur une ancienne toile déjà terminée – j’y reconnais encore les motifs – par-dessus le vernis, c’est-à-dire comme un cow-boy) pour l’ouverture de La Table il y a trois ans (pour cacher les défauts du mur d’argile que finalement on ne voit même plus). Jamais accrochée, elle servira donc à marquer la fin, la fermeture, ou la pause, je voudrais encore y croire.
Se reverra-t-on bientôt ? Je l’espère, et c’était déjà une belle aventure.
Visible jusqu’au 31 mars durant nos heures d’ouverture.